Entre réalité et imaginaire, macrocosme et microcosme, André Boucher nous convie à un voyage à fleur de peau, à fleur de matière. À la frontière du perceptible, l’organique devient virtuel, et la photographie se fait peinture. Aux quatre coins de ces grands formats hauts en couleurs, l’œil court, glisse, ricoche, plonge et se réjouit, cherchant un passage entre la deuxième et la troisième dimension, entre le soi et le monde, cherchant malgré lui à rentrer dans le cadre.
* Avec la collaboration de Christine Leroy
* Texte traduit en anglais, espagnol, chinois et japonais